dimanche 31 mai 2015

::: Caroline Bouissou, Observatoire, Parc Tassart :::



Les artistes en montage... Work in Progress par Alain Astruc !







::: Ciné-jardin avec Kinomad :::

Kinomad, l'asso Images et pétarades, prend le maquis et s'insinue au milieu des plantigrades de Cahors Juin Jardins pour une projection publique en jardin privé. Une nouvelle occasion de déc'ouvrir les yeux... sur une sélection spéciale et originale de courts métrages plantus et garden-friendly, mais pas toujours très terre à terre. En 2ème partie, transfert chlorophyllien garanti avec le documentaire "L'esprit des plantes", signé Jacques Mitsch. Un Rendez-vous avec la nature où belles plantes et lutins des bois sont conviés à partager les plus belles toiles filantes. Chaise et/ou couverture conseillée !

Vendredi 5 juin, au Ciné-jardin, 79 rue de la Barre à Cahors. Repli>Cochon Tigre en cas de pluie 

samedi 30 mai 2015

::: Un moment de silence intérieur :::

Cela faisait un moment qu'on en avait envie! Une petite séance de méditation végétale dans un jardin tranquille pour une pause en harmonie avec la nature et l'environnement...  Samedi 6 juin à 17h dans le jardin Cache Cache (194 rue Anatole France à Cahors), Brigitte Bruyez, du centre de bien-être Le relais des Anges (Mercues), propose un moment de silence intérieur, un voyage au coeur de l'être, de découverte et d'ouverture en pleine conscience. 
Alors on range son téléphone, on porte une tenue confortable, peut-être même un petit coussin pour s'asseoir, on ferme les yeux et on respire. Vous sentez l'énergie du lieu?                                                                         


Marie-Hélène Richard - Rosae Recyclum - 2012

vendredi 29 mai 2015

::: Le paysage à croquer de Marie Dallard :::

Cahors Juin Jardins a confié à la poésie culinaire de Marie Dallard, artiste traiteur Toulousaine, la création d'une installation à déguster le soir de l'inauguration du festival, vendredi 5 juin à partir de 18h30 à la médiathèque du Grand Cahors. Le jardin paysage sera donc à croquer!  Une cueillette gourmande à même l'oeuvre, voilà de quoi émoustiller les yeux et faire saliver nos papilles! Sucré le ciel, salé le feuillage, la règle du jeu est de contempler avec un appétit reconnaissant le paysage avant de l'engloutir.  Car Marie Dallard pratique l'art culinaire comme un rituel sacré. Son univers singulier se rapproche du cabinet des curiosités des saveurs épicé d'une sensuelle espièglerie. Elle-même est un personnage central de ses installations fictions. A découvrir, son académie de cuisine underground, 27 avenue de la Gloire à Toulouse!


 

mercredi 27 mai 2015

::: Emission publique radio FMR / Goethe Institut de Toulouse :::

Pour la première fois, les Goethe-Instituts de Toulouse et Paris s’associent à Cahors Juin Jardins autour de la coproduction d’une artiste allemande d’art contemporain, Verena Issel, dans le cadre de leur programmation annuelle autour du thème « jardin-espace-rêve ». Après une résidence en Asie, Verena Issel propose de revisiter à Cahors le jardin asiatique au Capilulaire de Villis. Alors qu’en Europe, le jardin est un regroupement plus ou moins ordonné de plantes, le concept asiatique de jardin repose plutôt sur le minéral et le minimal. Afin d’interroger notre conception traditionnelle du jardin dans une société de production et de consommation, la jeune plasticienne Allemande souhaite ici concevoir un jardin zen artificiel et coloré. A ne pas manquer, jeudi 28 mai, entre 19h et 20h30, une émission publique sur le thème du jardin paysage en présence de Verena Issel et d'autre artistes de Cahors Juin Jardins 2015, avec radio FMR en direct du Goethe Institut de Toulouse !

































vendredi 22 mai 2015

::: Le paysage, les jardiniers et la photographe :::

Elle dit...Invitée à m’immerger dans la vallée du Lot en ce début de printemps parfois capricieux, j’ai découvert de surprenants jardins paysage. J’ai saisi l’habile et parfois ludique intervention de jardiniers amateurs et passionnés. J’ai cherché à réaliser des images sensuelles et décalées où l’on effleure la main de l’homme qui façonne et sculpte des bouts de paysages consentants. Les portraits que je souhaitais réaliser ne se sont pas imposés d’eux même. Au fond je m’en doutais. A Blois, à Ramallah, à Saumur, dans la province du Cap Oriental j’avais, avec des gens évidemment très différents, déjà ressenti ce léger flottement propre aux nouvelles rencontres. Le temps m’était compté mais je savais que je trouverai, sans astuce ni artifice, la bonne distance et la juste complicité qui me font croire à la force du portrait. 
Au milieu de cette nature tantôt exubérante tantôt domestiquée, je désirais alors révéler des facettes d’humanités sans fard ni quête présomptueuse de vérité. J’ai rencontré beaucoup de monde et participé à des discussions riches. J’ai  découvert une forêt de conte de fées. J’ai grimpé des collines, croisé des elfes dans des sous-bois verts étincelants. Je les ai capturés avec mon appareil photo puis relâchés sur les bâches de la ville. J’ai rencontré une institutrice idéale, parlé plantes anciennes mais aussi causse et oppidum. J’ai adopté un râteau-castine qui, comme dans les inventaires à la Prévert, s’est malicieusement immiscé dans mes photographies. Comme pour souligner le sérieux de leur démarche, je leur ai demandé de poser concentré. Poser sans sourire n’a pas toujours été évident, et imposer la neutralité des expressions a souvent paru incongru. J’ai alors imaginé des mises en scène comme des clins d’œil à un théâtre en liberté. Au fond et comme toujours j’ai dû m’adapter aux lieux, à la lumière et aux gens. J’ai tenté de faire ressortir autant que faire ressentir toute la complexité et souvent la beauté d’une rencontre... J’ai aimé faire ces photos.                                                                

Amélie Debray

jeudi 21 mai 2015

::: Sous la neige - Christine Mathieu, photographies :::

Le  travail photographique de Christine Mathieu est un regard posé sur le monde qui l’entoure. En s'emparant  de formes et d'objets à caractère universel, elle compose des images photographiques aux cadrages simples et rigoureux qui en révèlent la puissance symbolique. La série “Sous la neige”, présentée en partie à la Maison de l'eau à Cahors, est un hommage aux “Belles endormies” de l’auteur Yasunari Kawabata. "En blessant et en parant des fleurs coupées, j’explore les expériences essentielles de la vie : naissance, désir, vie et mort." Troublantes et mystérieuses, ces images , parfois violentes, crues et sensuelles, reposent sur la matérialité du corps et de sa chair. 

Aaah!

  

Maison de l'eau, chemin de la Chartreuse, du 22 mai au 21 juin

mercredi 20 mai 2015

::: Une coproduction avec la Fondation Espace Ecureuil :::

La fondation Espace Ecureuil pour l'art contemporain (Toulouse) expose hors ses murs dans les jardins de Cahors! Une collaboration prestigieuse à l'initiative de Sylvie Corroler, sa directrice, autour de deux artistes: Sarah Jérôme, peintre et céramiste, et Michel Thamin, sculpteur. Dédié à l'art contemporain, la programmation de la fondation accompagne la création contemporaine en laquelle elle croit et les artistes qui privilégient, par la construction de leurs œuvres, un rapport évident à notre vie quotidienne, actuelle, à ses réalités, à ses désirs, à ses rêves...




Sarah Jérôme...

Dans le Square Jouvenel à Cahors, dans la bibliothèque patrimoniale du Grand-Cahors et à l'Aquarium,42 à Toulouse, Sarah Jérôme déploie son Champs de pensées. Artiste singulière, plurielle et habitée par une forme de romantisme noir, elle n’hésite pas à explorer nos parts d’ombre, d’excès et d’irrationnel. Champs de pensées est un site archéologique, un jardin humain fossilisé. Ces belles endormies, exposées sur des fagots de bois, à la menace (ou sous la protection) de corbeaux, sont comme des graines germées ou des coraux figés dans un état transitoire, à la frontière du rêve et du mythe, de la vie et de la mort. 
                   




Michel Thamin...
Michel Thamin sculpte la pierre, la taille, l'incise. Pour Cahors Juin Jardins, il propose 60 lithoglyphes, sortes de « boites de pierre » s’apparentant aux cairns et à d’énigmatiques mausolées. Installés dans la géométrie épurée de la Cour Joachim Murat (collège Gambetta), les lithoglypes forment une chorégraphie immobile comme un langage de pierre adressé à l’inconnu. Ouvrir ces boites c’est découvrir leurs mystérieux symboles.




mardi 19 mai 2015

::: Le programme 2015 :::

Il est beau, il est artistique, il est paysage, il a 10 ans c'est le programme 2015



Bonne lecture et Rdv dans les jardins !

::: Les concasseurs, imprimeurs sauvages ! :::


Du rouge, du brun, de l’ocre… les terres locales en couleur, prélevées, concassées, broyées, filtrées, sont des matières potentiellement imprimables pour le collectif Les Concasseurs. Invités samedi 16 mai par la Commune de Saint-Cirq-Lapopie, la Maison des Arts Georges Pompidou et le Parc naturel régional des Causses du Quercy, ces imprimeurs sauvages ont initié à la sérigraphie les participants au projet de territoire Les jardins paysage. A partir  d’un motif commun issu de photos de chaque village et de quelques poignées de terre,  une signalétique commune a été créée que l’on pourra découvrir  dans les villages pendant le festival Cahors Juin Jardins. Moment d’apprentissage convivial et créatif pour les participants qui ont pu apprécier le mystère de l’apparition du motif et la satisfaction du résultat final…


    



 




La journée du 7 juin est consacrée au parcours des jardins paysage, du Montat à Saint-Cirq Lapopie 


vendredi 15 mai 2015

::: Itinéraire des Jardins Privés :::



Pour sa dixième édition Cahors Juin Jardins renoue avec l’historique du festival en proposant un autre itinéraire de promenade, celui des jardins privés. Poussez la porte, soyez curieux et découvrez de nouveaux points de vue sur le paysage intérieur de vos hôtes jardiniers… Tiens par exemple, Lou Crincat, le jardin terrasse de Laetitia et Emmanuel. Une vraie jungle en centre ville! « Ce qu’on aime, c’est l’échange, le partage et parler avec les gens qui découvrent notre jardin !" disent-ils. Quand l'accueil est chaleureux, le dialogue s'installe. On parle jardin, on parle de la vie! 



 




Dans le quartier de Cabessut, c'est Marc qui s'occupe du jardin de Pascal depuis 2011. Ça l'aère de son appartement en résidence... A vrai dire, il en connaît un rayon côté jardin. C'est un jardinier retraité de la Ville de Cahors... Alors, il propose des aménagements, taille les arbres, redresse les piquets et crée des massifs... "Je suis passionné", dit-il.  D'ailleurs, il était là, en 2004 lors de la création des jardins remarquables de Cahors... Alors, une petite balade dans les jardins privés, ça vous dit?


A gauche Pascal, à droite Marc.


 L'impasse du Jardin Cache-Cache 


Les jardins privés seront ouverts du 5 au 7 juin de 14h à 19h…

mercredi 6 mai 2015

::: Dixième édition, cartographie d'une identité :::

Une dixième édition, ça se fête ! La médiathèque du Grand Cahors accueillera cette année pendant tout le mois de juin une exposition rétrospective des dix éditions du festival, à travers ses identités visuelles, poétiques et contemporaines.

   

D'année en année, la cartographie d'une identité se dessine, peuplée de rêves, d'expériences, de rencontres, de doutes, de séparation, de reconnaissance, de curiosité. Chaque visuel a son histoire et esquisse un paysage qui se construit dans le temps...


              

Des créations d'artistes et de graphistes, de photographes et de peintres, que l'on doit à Gaëlle Marrou, Restez-Vivant!, Benoit Leturq, Stéphane Chabrier, Christine Mathieu et Hélène Angeletti...